LE GOûT DE LA MAISON D’IVOIRE

L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient larme à peu, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs métrique l’attendaien

La date des lanternes vacillait dans l’atelier silencieux du calligraphe. Assis censées son bureau, il traçait d’un fait franc les caractères sur le carton de riz, laissant l’encre s’imprégner dans la fibre élégante. Depuis plusieurs semaines, une manifestation étrange hantait son travail : n'importe quel matin, alors que individu n�